On repart sur la côte ! Cette fois ci au Nord-Est de l’île avec Amed et ses plages de sable noir (à cause du volcan)… J’avoue qu’au début, quand on m’a dit ça, ça ne m’a pas fait rêver. Et pourtant, tout le monde me le conseillait, alors je suis allée voir de mes propres yeux et badaboum, mon coeur a refait boum !
La vieille ayant été ce qu’elle a été (rappelez-vous les 2000 marches d’escalier et les 6h et quelques de marche à pieds), on s’est dit qu’on allait faire soft. On a posé nos sacs à dos à Jemeluk, petit village mignon comme tout accolé à Amed et on est allés tremper nos mollets meurtris. Un joli coin pour faire du snorkeling rapide. Il y a même des petits temples sous l’eau par ci, par là, mais j’ai été un peu déçue d’apprendre que c’était les balinais qui les avaient posé là pour rendre la plongée plus intéressante pour les touristes…
Et comme je ne peux jamais rester en place très longtemps, j’ai embarqué Adrien avec moi pour un petit tour des environs… Bon il n’y a rien d’extraordinaire à voir mais la balade sur la plage ou sur la petite route parallèle est super agréable, on croise des petites boutiques et des guesthouses… On tombe sur des restes de poissons qui ne donne ABSOLUMENT PAS envie d’aller se baigner… Enfin bref, on prend le temps 🙂
Le soir, je suis montée avec Mily en haut de la petite falaise qui surplombe la plage de Jemuluk pour avoir une jolie vue pour le coucher de soleil. En route, on s’est arrêté acheter une bière, c’était sans compter qu’il y en avait qui nous attendait en haut ! Des jeunes faisaient de la pub pour un petit bar-resto où avait lieu un mini-concert le soir. On a passé un super moment à discuter et on y est donc allé pour y manger, sans regret ! C’était pas les prix des petits warungs habituels par contre entendre des jeunes indonésiens reprendre November Rain, ça vaut tout l’or du monde 🙂 Merci pour le slow Adrien 😉 !
Le lendemain, on a fait un saut à Tulamben pour voir l’épave du Liberty (un navire américain qui a été touché par des torpilles provenant d’un sous-marin japonais en 1942), spot de plongée hypra connu.
Comme elle n’est pas trop loin de la plage, on peut y aller facilement à la nage et apercevoir quelques bouts à vue de masque-tuba.
Mais comme mon courage me quitte souvent aux abords d’un océan et qu’il y avait pas mal de vagues et courant, j’ai laissé ce plaisir aux copains !
