Je vous rembarque pour un tour au soleil, mais cette fois-ci, côté Océan ! Dimanche dernier, j’ai pris la route avec Chrystelle et Bastien, direction le joli village de Bidart pour bosser au grand air. Même si je voue un amour incommensuré à Toulouse, finir ses journées par un coucher de soleil sur la plage, c’est quand même autre chose que la vue sur la Grande Roue… Et quelques heures de surf valent bien tous les abonnements à la salle de sport…
Bon le premier jour, j’avoue, j’ai abandonné mon ordinateur pour profiter de la douce lumière du matin et j’ai accompagné Bastien et sa planche à la plage histoire de faire quelques photos. D’ailleurs si quelqu’un a un téléobjectif qui traîne dans ses placards, je veux bien en être la digne héritière et devenir photographe de surfeurs (bon ok, de surfeuses aussi…) et voyager sur toutes les plages du monde… Voilà, voilà.
En plus des trop beaux paysages, on avait la chance d’avoir Chrystelle en cuisinière hypra motivée qui nous a nourrit de bons petits plats maison tout le séjour, ce qui, je l’espère aura un minimum compensé les litres de bières engloutis… On a essayé de la convaincre de prolonger après Bidart histoire qu’on mange enfin sainement mais je crois qu’il va falloir se résoudre à la dure vérité, mes repas on déjà recommencé à ressembler à absolument n’importe quoi…
Le soir, Marine et Pascal nous on rejoint pour un passage éclair, l’occasion d’aller faire un petit feu de camp improvisé sur la plage et de profiter d’un superbe coucher de soleil. Depuis je suis obsédée par l’idée d’y revenir avec des chamallows *frustration extrême de ne pas avoir pensé à en acheter*.
Bon non en fait, pour dire la vérité, je ne suis pas obsédée que par les chamallows depuis, en fait je suis obsédée par le fait de passer ma vie sur les plages à faire des feux de camp avec mes copains (et des chamallows). Allez, s’il-vous-plaît…
Les journées se sont enchaînées à coup de plage, salade équilibrées, de la bières (beaucoup de bières)… Un peu de surf avec un super prof (oui, j’ai une planche qui fait deux fois ma taille, mais déjà que je me lève une fois tous les quinze ans, on va pas se tenter plus petit…) et des retouches photos à n’en plus finir pour mes mariés d’amour du mois d’août !
Non, non, je ne me suis absolument pas pris 1346 vagues en pleine tête et je n’ai pas les yeux complètement explosés et les sinus ravagés… Attendez… Ah si !
Le dites pas à Toulouse mais… On peut déménager là-bas pour la vie ? Allez…