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LANDES | PAYS BASQUE​

L’Atelier d’Amaya…

On passera sur mes cheveux de folle (ma mamie dirait que c’est le vent qui m’a coiffé, et elle n’aurait pas tout à fait tort)… Non, on se concentre sur mon nouveau petit bijou que je ne quitte plus et qui m’a gentiment été offert par une petite boutique plus qu’adorable à Toulouse, j’ai nommé : l’Atelier d’Amaya !

Je ne vous raconte pas qu’elle a été la torture de devoir choisir parmi toutes ces petites beautés. Mais finalement, le coeur a ses raisons que la raison ignore et j’ai jeté mon dévolu sur ce joli bracelet qui me rappelle ma chérie d’amour de toujours… Buffy. Les amoureux de Whedon comprendront, les autres, peu importe. Quoi qu’il en soit, si j’ai un peu hésité de part le caractère religieux à l’opposé de toutes mes convictions, je ne regrette pas mon choix « Buffyesque » et je n’ai plus peur des vampires en rentrant le soir…
Mais maintenant, vous vous demandez toutes (et tous pour pouvoir faire de trop chouettes cadeaux à vos amoureuses), où est cette petit boutique… Et bien bougez pas, je vous raconte tout ça !

L’Atelier d’Amaya est une petite boutique située 11 rue Antonin Mercié en plein centre de Toulouse, qui a également une grande soeur à Bordeaux et une petite à Lyon depuis peu. Ce que j’aime par dessus tout à l’Atelier d’Amaya, c’est son histoire… Tout a commencé entre une mère et une fille, Laure et Amaya, créatrices de bijoux qui d’un atelier improvisé dans leur salon ont réussi, en quelques années à ouvrir des boutiques dans trois des plus jolies et plus grandes villes de France. Moi je dis, chapeau les filles !

Tantôt pierres précieuses, tantôt argent ou plaqué or, les bijoux de l’Atelier d’Amaya se déclinent à l’infini mais gardent toujours ce côté gris-gris que j’affectionne tant. La finesse des bracelets fait qu’ils se suffisent à eux-même, ils sont pourtant sublimés lorsqu’on les superpose… 




Il y en a pour tous les goûts et pour tous les âges. Des bijoux imposants aux plus discrets, pour les hommes ou même pour les tous petits. Ca change des gourmettes un peu has-been offertes par les mamies. 

Mais le mieux dans tout ça c’est le pourquoi de l’Atelier d’Amaya… En effet, la boutique ne porte pas ce nom par hasard. Si vous aurez toutes et tous compris d’où vient le doux prénom d’Amaya, l’Atelier n’est pas innocent non plus. En effet, le concept veut qu’à côté des bijoux déjà tout prêts en boutique, chacune puisse se confectionner « son » bijou. C’est ainsi qu’en plus de passer une heure à choisir parmi toutes les combinaisons exposées, on peut également passer deux heures de plus à créer son bijou sur mesure. Galons de soie, cordons, rubans liberty et autre lanières de cuir, vous trouverez forcément votre bonheur. Le tout est à mixer avec breloques et médailles. Une fois votre choix fait, les filles de la boutique se chargent de confectionner votre bijou.

Et cerise sur le gâteau, on peut aussi demander une gravure, dernière petite touche de personnalisation qui fera tout son charme à un bijou qu’on offre ou qu’on reçoit… A bon entendeur 😉

Et là, là… Vous pensez que j’ai terminé. Et bien non ! Non, parce qu’il y a encore un truc trop chouette à l’Atelier d’Amaya, c’est que si on se lasse de notre bijou ou si on a envie de changer, etc. Et bien on peut redispatcher (quel joli mot) comme on souhaite : on garde le ruban et on change la médaille. On adore notre petite breloque mais on en a marre de la petite cordelette, paf, on vient à la boutique et on demande à en faire un collier… Des possibilités infinies, moi je vous le dis ! Une fois que vous y avez goûté, vous ne pouvez plus vous arrêter…


Je pourrais passer des heures à parler de bijoux avec vous mais je vous en ai déjà montré bien trop, je ne peux que vous conseiller d’y faire un petit arrêt lors de votre prochaine virée shopping et de juger par vous même !

DIY – Une superbe pochette à paillettes


Ca faisait un petit moment que Laura me parlait de cette fameuse pochette qu’elle voulait tant. Alors quand j’ai vu sur l’Instagram d’ArrowWorkshop que du tissu thermocollant à paillettes était dispo à la boutique, ni une, ni deux, j’ai appelé ma copine et on s’est pris un peu de temps pour nous deux, une jolie après-midi. Je ne suis pas une pro de la couture, mais pour une pochette, ça passe encore. Et puis avec des paillettes, tout passe. C’est donc parti pour un DIY express, rien de plus simple que les quelques étapes qui vont suivre…

Squat !

Depuis que je passe mes journées à faire des photos ou à retravailler dessus, j’ai eu tendance à abandonner le côté « plaisir » de l’exercice. Non pas que je me sois lassé, non, non, j’adore toujours autant ça et je pourrais prendre chaque petite minute de ma vie en photos que ça ne me dérangerait. Non, c’est le temps qui manque, les priorités qui changent. Les exigences qui montent. Bref, ce qu’on peut retenir de tout ça c’est que je mets 3 semaines à rendre des photos des loulous à ma soeur ^^ Ou même que je tombe sur des photos « plaisir » complètement par hasard pendant une soirée « boulot ». Oui, oui, je commence même à oublier que j’ai pris certaines photos. C’est grave. Donc ce soir, article tout mini mais pour vous montrer ces deux photos retrouvées sur une carte SD, entre deux shootings ! On leur avait fait la surprise, après un match de derby de venir dormir dans mon nouveau chez moi ☺ Donc au programme, camping dans mon salon et ptit déj’ au top devant les dessins animés ! Ca me manque de plus les avoir avec moi !!

Giveaway – Séance Photos à gagner !

Un petit mot pour vous informer du concours organisé sur la page Facebook de Remember Happiness Photographie !
Pour participer, ça se passe ici.
Pour soi ou pour offrir… En amoureux ou en famille… 
Séance naissance ou même pour votre petit chat (Franck, c’est pour toi ;p)

Je suis une vendue…

… Célibataire vendue. Mais célibataire. Et j’aime ça. J’aime pouvoir dire « oui » quand Audrey m’appelle une après-midi pour me demander si je suis d’accord pour participer à la vente aux enchères organisée par le Vasco au profit des Restos du Coeur. C’est un peu le bordel ma vie en ce moment, ma vie sentimentale, je vous en parle même pas. Mais c’est un chouette bordel, du genre qu’on se dit qu’il faudrait ranger un jour, mais que sans lui, ce serait un peu, même beaucoup, moins drôle…
Alors oui, mon plaid me répète souvent qu’une personne de plus dans le canapé pour une soirée douillette ensemble, ce serait quand même pas mal. Mon sac à dos me tanne pour un voyage en amoureux… Mais j’ai le temps, le temps de profiter de ces soirées où je suis vendue aux enchères.
Ca fait maintenant un petit moment que le Vasco Le Gamma, très très chouette petit bar du quartier Saint-Cyprien que je ne ferai pas l’affront de vous présenter, organise cette petite vente de célibataires pour la bonne cause. Et qui dit vente aux enchères, dit commissaires priseurs ! Des As dans l’art de déshabiller les garçons, mesdemoiselles, vous avez raté du lourd, hum, hum…

Donc vous imaginez bien que passé le moment du « oui, oui, pas de souci, vends-moi quand tu veux ! » à Audrey, mon cerveau a commencé à calculer = ventes aux enchères = enchères. Oui, y avait pas beaucoup à calculer. Gros flippe quand même… L’avantage c’est qu’il calcule pas souvent et pas longtemps, on pourrait qualifier mon cerveau de je-m’en-foutiste… Bon, j’avoue j’ai quand même recruté Adrien pour venir enchérir au cas où je ferais un mega flop, j’ai une réputation à tenir 😉 Alors bon, autant passer à la réponse avant d’avoir la question. Je vous annonce valoir en tout et pour tout 70 euros. Ou plutôt 70 repas ! Maintenant, quand je me ferai draguer par des gros lourds, je pourrais leur dire « ok, on prend un verre ensemble mais faut que tu files 70 repas aux Restos du Coeur« . J’ai espoir. Un peu.

Mais voilà, ma vie sentimentale étant ce qu’elle ai, il a fallu que j’ai un gros craquage sur le seul gars maqué du bar. J’ai eu droit à un petit mot glissé dans une poche de ma veste plus qu’adorable par un garçon tout aussi adorable, j’ai eu droit à un beau gosse de chez beau gosse servi sur un plateau par ma chouette copine venue m’encourager… J’avais un magnifique Canadien avec un accent à craquer que j’aurais pu acheter. Mais non, non. Il a fallu que je craque sur le seul garçon qui avait sa langue dans la bouche d’une autre toute la soirée. (Rassurez-moi, vous aussi quand vous vous dites « pourquoi ça n’arrive qu’à moi » vous le faites sur l’air de Sandy Valentino ?) Ce n’est pas encore ce soir que je rangerai mon petit bordel auquel je me suis peut-être un peu trop attachée. Tout va bien. 

Je vais continuer à en profiter un peu, un jour faudra bien mettre de l’ordre dans tout ça. Mais pour l’instant, passer une soirée entourée de mes amours d’amis (qui ont eux-même des amours d’amis), à mater du beau mâle (même si bon, je préfèrerais du beau mâle CELIBATAIRE !), en buvant des « méduses » me suffit largement ! Mon plaid et mon sac à dos attendront encore un peu… (Pas trop quand même hein, moi aussi les soirées douillettes et les vadrouilles en amoureux me manquent)
Encore merci tout plein au Vasco pour cette chouette soirée, à Audrey pour ses idées folles, à nos super commissaires priseurs et à mes amis qui étaient prêts à casser leurs tirelires pour m’éviter le rencard avec le pervers d’à côté qui, heureusement pour moi, était aussi pauvre que lourd ! 

Et puis si le coeur vous en dit, un ptit don par ici, quelques euros, plein de repas. 
Je prolonge l’offre, un don, un rencard 😉
(Et accessoirement, je vends aussi Adrien)
*** Et je suis désoooolée pour la qualité des photos que ça me fend le coeur mais mon ptit bébé d’amour 5D MIII est bien trop jeune pour
 aller faire la teuf dans les bars jusqu’à 2h du mat’, c’est donc son grand frère qui a pris le relais et qui a fait ce qu’il pouvait ! ***

Nouvel An Chinois aux Galeries Lafayette…

La semaine dernière, non même plus loin, le 31 janvier il me semble, avait lieu le Nouvel An chinois. L’occasion pour les Galeries Lafayette de Toulouse de nous concocter une petite fête, l’occasion pour moi de vous montrer quelques photos, et… ET de nous instruire tous ensemble. Oui, oui. Des fois je vous montre des pizzas en forme de coeur sans grand intérêt, des fois je fais mon intello. Merci Wikipedia. (Oui hein, suis pas une pro du Nouvel An Chinois, je vais découvrir en même temps que vous tout ça…)
La soirée a débuté avec un buffet, des fortune cookies et du champagne servi par de jolies hôtesses. Je dois vous avouer qu’en un clignement de yeux, il n’y avait plus rien, faut dire qu’on était sacrément nombreux. Mais bon, tant qu’on est pas arrivé à cours de champagne, tout va bien. 
Bon allez je commence mes petites explications… Je reviens, je vais fouiller sur Wikipedia…
Alors, alors… D’après ce que j’ai compris, y a plein de moyens de calculer une année. Genre nous, on fait avec le soleil (du moins à peu près parce qu’avec le fisc, les écoles et tout le tralalala hein…). Bref, en gros c’est le temps que la terre fasse une fois le tour du soleil, mais si vous voulez faire bien vous dites « l’intervalle de temps dans lequel la longitude moyenne du Soleil sur son orbite apparente, qu’est l’écliptique, croît de 360°« . Revenons-en à notre Nouvel An Chinois (pas que chinois d’ailleurs, mais on en reparlera). Là, c’est un calendrier luni-solaire, donc en plus de faire attention à combien de temps la terre met à faire un tour, il regarde aussi les phases de la Lune. Et c’est là que ça devient compliqué (du moins pour moi et ma courte nuit de sommeil). Il se base sur la Lune, sauf que du coup, ça correspond plus forcément à l’année selon le soleil, et ça correspond pas non plus aux saisons… Et pour arranger ça, il rajoute un treizième mois environ tous les trois ans. Bon voilà, ce paragraphe est déjà bien trop long, ce serait bête de vous faire fuir avant que vous ayez vu le lion ! (Y a visiblement aussi moyen d’expliquer tout ça avec plein de chiffres, mais outch ! Puis niveau graphisme on repassera >> ici

Jenn et son biscuit chinois qu’on comprend pas trop ce qu’il veut dire… Et ben vous savez quoi (bon, c’est toujours mon pote Wikipedia qui m’a raconté tout ça, hein, mais je lui fais plus ou moins confiance, il m’a sauvé plus d’une fois au lycée…), les fortunes cookies viennent pas du tout d’Asie. Ils ont été inventés aux États-Unis aux alentours de la Première Guerre mondiale ! Même que Sans Francisco et Los Angeles se disputent son origine, on ne saura jamais la vérité, Ô malheur… En plus j’ai même pas réussi à en avoir un. Heureusement que j’ai une Magic 8 Ball !

Après on a eu droit à une très belle danse du Lion (bon en fait, c’est la seule de ma vie que j’ai vu, donc je peux pas vraiment comparer, mais je l’ai trouvée très belle !)… Elle est censée apporter Chance, Bonheur, Prospérité et chasser les mauvais esprits. Du coup, on en voit pas qu’au Nouvel An, mais aussi pour les moments importants comme par exemple les mariages. Elle varie selon les endroit, mais en tout cas, ce que je peux vous dire de celle des contrées lointaines des Galeries Lafayette, c’est que c’est un beau spectacle mêlant danse et art marial, accompagné par des instruments de musique (tambour, gong et cymbales…) et un « Bouddha » (qui faisait un peu peur…). C’était vraiment beau, les danseurs sont super forts… Et puis les lions me faisant penser à Falcor de l’Histoire Sans Fin alors je pouvais QUE aimer !

Ensuite on est vite allés se mettre à l’intérieur car il faisait à peu près – 20 sur la terrasse et qu’une fois la chaleur du spectacle finie, on a commencé à se les peler sévère. Là nous attendais un violoniste chinois. Bon mis à part que le monsieur était adorable, qu’il a laissé Adrien essayé et que ça faisait un bruit de chat passant sous les roues d’une voiture… J’aurais du filmer tiens… 

On a terminé la soirée comme se terminent les festivités du Nouvel An Chinois (ah oui qui est pas que chinois mais en fait, j’en peux plus de jouer les Wikipedia… Retenez que c’est plus le Nouvel An DU calendrier chinois en gros, puisque célébré dans plein de pays d’Asie) avec la Fête des Lanternes ! Alors là en fait, bon… Il n’y a pas eu d’autorisation pour le lâché de Lanternes, résultat on était censés les allumer et les tenir. Je vous laisse imaginer le carnage… Ca prend vite feu ces petites bêtes ! Dommage parce que le mini aperçu que j’en ai eu était drôlement beau…
Je continu un peu avec mes explications parce qu’il y a une histoire trop mignonne que je veux vous raconter ! A la base, la légende dit que le Dieu du Feu, super en colère mais je sais pas pourquoi, a menacé d’incendier la capitale le quinzième jour du premier mois lunaire. Du coup, genre pour le mettre encore plus en colère on va le prendre pour un c**, les habitants ont allumé ce soir là tout plein de lanternes rouges et les ont accroché un peu partout ! Visiblement ça a fonctionné, le Dieu a cru que la ville était déjà en feu et est reparti, frustré à mort. Mais ça c’est pas la version mignonne… La version mignonne, ce serait qu’un conseiller impérial aurait inventé toute cette histoire de Dieu en colère pour qu’une jeune servante du palais puisse sortir incognito et aller voir sa famille ! C’est trop mimi, non ? Surtout que bon, j’ai oublié de vous le dire, mais à la base, c’est un peu beaucoup ça aussi le Nouvel An DU calendrier chinois, aller rendre visite à sa famille…

Et voilà, ce mini aperçu se termine ici, merci Wiki pour ton aide, merci aux Galeries Lafayette pour cette chouette soirée, c’est toujours plus marrant avec quelques flops ! Et puis un de ces jours, j’espère pouvoir fêter le Nouvel An en Chine ou ailleurs, ça doit juste être fou… Allez hop, ajouté à ma to-do list !

The Lil Brainstorming

Vous connaissez peut-être la blogueuse mode, Koala Rayé…Ou l’art d’être classe en baskets ! Je rêve de son pull Kenzo, et… Oup, je m’égare… Non aujourd’hui, c’est de son petit ami dont il est question ! Un jour, je vois sa photo sur Instagram et là paf ! Je reconnais un copain de collège (et Dieu sait que le collège remonte, je-ne-suis-pas-vielle-je-ne-suis-pas-vieille-je-ne-suis…), le monde est tout petit, petit… Et là j’apprends que ce dernier tient aussi un blog mode : The Lil Brainstorming.
Mais ce n’est pas tout, il customise aussi des chaussures, Vans et autres Nike… J’avais complètement craqué quand il avait offert à son amoureuse des Galaxy faites par ses mimines et quand il m’a dit qu’il allait commencer à les commercialiser, ni une, ni deux, j’ai voulu vous le présenter ici ! En bonus, vous pouvez également apercevoir ses Nike SB Janoski façon Spiderman, création maison également…

 

 

 

 

 

 

 

Si vous rêvez de votre paire de Vans faite sur mesure et unique, vous pouvez le contacter : [email protected]
…ou surveillez sa boutique ouverte récemment : shop Etsy.

Pizza Salvadora

Alors oui, cet article n’a pas grand intérêt je vous l’accorde (à part si vous habitez Muret et que vous ne connaissez pas encore cette pizzeria) mais c’était trop chou pour ne pas que je fasse de photos… Et qui dit photos, dit blog ! Et puis d’abord, j’écris des articles sur ce que je veux même si ça a pas d’intérêt (puis je préfère pas qu’on rentre dans le débat de l’intérêt de mes articles ^^) ! Donc mardi dernier, suis allée faire soirée pizzas avec ma soeur et les enfants et en plus d’être trop bonnes, elles étaient trop mimi ! La dame a reconnu ma soeur au téléphone (alors qu’elle doit commander 2 fois par an !), et donc s’est rappelé qu’il y avait Kali et Malcolm et…
… Elle leur a fait des pizzas en coeur et ourson !!!

Voilà. J’adore ! Donc pour ceux qui seraient de passage dans le sud de Toulouse, c’est la Pizzeria Salvadora… 

Genetics d’Ulric Colette

Vous ne serez sûrement pas passés à côté, le projet photographique mené par Ulric Colette « Genetics » a fait le tour de la toile. Pour mettre en avant les ressemblances génétiques entre membres d’une même famille, le photographe a réalisé toute une série de portraits un peu particuliers, assemblages de visages afin de faire ressortir les ressemblances physiques et traits communs.
Le résultat est assez impressionnant et ne donne envie que d’une chose… Le tenter ! C’est d’ailleurs la première réaction qu’a eu ma soeur en voyant ces portraits. Alors un dimanche pluvieux, on a pris Kali et Malcolm en cobayes, plus ou moins coopératifs.
Au début pas convaincues, persuadées que ces deux-là ne se ressemblaient pas du tout, à l’image de leurs caractères tout aussi opposés. Tellement peu convaincues qu’on s’y est peu appliquées, des photos prises rapidement devant un placard, des bouilles à faire tenir droites, des sourires à figer… Et puis au moment d’assembler tout ça, on est restées toutes bêtes ! Le résultat est une bonne surprise pour deux bouts de chou qu’on pensait si différents…
C’est assez étrange à regarder, leur première réaction a d’ailleurs été « aawweeayeuurgh« , je vous l’accorde, mais j’adore le fais de pouvoir résumer (enfin presque, on est d’accord) toute une histoire de gènes en une photo ! 
Du coup maintenant j’ai hâte de tenter la même avec ma grande soeur ! Depuis petite, on me dit et me répète qu’on se ressemble mais je n’ai jamais vu le moindre trait commun entre nous… Je pense qu’on pourrait avoir une surprise ☺
Je vous invite à aller découvrir le travail d’Ulric Colette, et en particulier les portraits dont je vous parle, ici ! Le derniers, réalisés en mouvement, sont juste fous !

Des yeux de cocker…

Ou comment avoir l’air du chien le plus malheureux du monde en un regard ! Et pourtant, je peux vous dire que c’est un petit prince. J’ai eu l’occasion de lui faire quelques photos le week-end où je suis allée faire mes séances photos « bébés » à Bayonne. Il était là, avec ses yeux qui me disaient « moi aussi je suis un bébé d’abord… » 


Des sourires et des épices : La Pente Douce

Tout juste ouvert au coeur du quartier de la Concorde, le restaurant La Pente Douce est promis à un grand succès. J’ai eu la chance de rencontre le chef Hamid et sa femme Typhaine, les adorables propriétaires des lieux, à l’occasion d’une séance photo presse (l’article ici) et j’ai pu découvrir tout l’étendu de leurs talents lors d’une dégustation la semaine dernière… 
J’ai donc ressorti l’appareil photos pour vous en donner un petit aperçu.
Un décor tout en finesse et douceur qui rappelle la cuisine d’Hamid, du pastel et du vif qui se marient à merveille, parfait reflet des plats à la fois traditionnels et originaux que vous pourrez y déguster. Le tout saupoudré de jolis fleurs fraîches déposées chaque semaine par Marie Jeanne. 
La soirée dégustation a commencé par des cocktails et s’est poursuivie autour de plats tous plus succulents les uns que les autres. Les produits sont frais et sélectionnés avec le plus grand soin par nos deux amoureux. Du marché de Victor Hugo à celui de Kénitra au Maroc, en passant par Sao Tomé-et-Principe, « l’île chocolat », rien n’est laissé au hasard. Et pour accompagner tout ceci, le sommelier Toshiyuki et sa carte de vins nature… Bref ! De quoi passer une excellente soirée ou un merveilleux déjeuner.

A cela ajoutez une ambiance tout aussi douce que la décoration, un personnel accueillant et chaleureux, un piano à disposition pour les clients inspirés et une grande table d’hôtes en bois massif pour partager des repas en famille ou entre amis. Le petit plus qui me fait craquer : la cuisine est centrale et ouverte, on peut admirer les chefs au travail et se donner l’eau-à-la-bouche le temps d’un verre.
Je vous laisse avec quelques photos des plats que j’ai eu le plaisir de goûter, je n’ai malheureusement pas pu rester jusqu’à la fin mais ça ne me donne que plus envie d’y retourner pour goûter les fameux desserts d’Hamid… 

Ici pas de carte, les plats sont fonction de la saison, du marché et de l’inspiration du chef. Tous les jours, vous pourrez choisir entre 3 plats, 3 entrées et 3 desserts. De nouvelles saveurs à découvrir au fil du temps qui, faites-moi confiance, ne vous laisseront pas indifférents. Bientôt, vous pourrez également y prendre votre petit déjeuner le matin, y boire de la limonade maison l’après-midi (je l’ai goûtée, un régal !) et y déguster un cocktail en soirée.

Je pense que cette soirée dégustation aura ravi tout le monde !
Déjeuner : du mardi au samedi
Dîner / apéro tapas : du jeudi au samedi (dernier service 21h) 
Brunch : tous les 1er dimanche du mois de 10h à 18h
Tarifs déjeuner :
Entrée + plat + dessert = 20 €
Entrée + plat ou Plat + dessert = 17 €
Plat = 13 €
La Pente Douce
6 rue de la Concorde
31000 Toulouse 
05 61 46 16 91 

Je vous souhaite un…

… Joli dimanche ! Sûrement sous la pluie (j’en ai marre !!!). Moi, il a plutôt bien commencé avec la visite d’un copain du collège que j’avais pas vu depuis 14 ans ! Et ben, on a pas changé ☺ Et les filles, Elodie et Claire, qui sont venues goûter… Réunion de travail ! Mais chuuut, je ne vous en dis pas plus pour l’instant ! (Heureusement mon vieux copain pas si vieux était encore là et nous a aidé à tout manger parce qu’on s’est retrouvés avec des montagnes de cookies et macarons à pas s’être concertées !) et Adrien qui est venue m’aider à finir tout ça le soir devant un vieux film : Stand by Me (d’ailleurs, il va falloir qu’on parle ciné par ici…).

Bref, passez un joli dimanche au chaud, moi suis retournée chez la grande soeur pour ce week-end, la pluie a eu raison de moi, adieu musées gratuits du dimanche, adieu fête de la Violette au Capitole, je reste sous la couette ! (ou presque)